The Sprawl : Night City - samedi impaire (à distance) - 18+

Hellooooo Night City !
A notre grand loto des meurtres, les cadavres se montaient à 30 pile hier, 10 rien qu'à Heywood , grâce à notre fabuleuse guerre des gangs !
On compote aussi un policier, alors gaffe à vos culs parce que le NCPD va pas laisser passer ÇA !
Nouvelle coupure de courant à Santo Domingo, encore des netrunners occupés à trouer le réseau électrique !
Tandis que dans les rues de Westbrook, la Trauma Team décolle les victimes des cyberpsychos de la chaussée...
Et à Pacifica ? Hé bien Pacifica reste Pacifica...
C'était votre ami Stan, restez avec moi, pour une nouvelle journée dans notre grande Cité des rêves !

Vous êtes un merc, aussi appelé edgerunner. En marge des corpos et des gangs, vous accomplissez des boulots divers, rarement tranquilles, pour des clients dont vous ne savez souvent rien. Mais les questions, c'est pas trop votre priorité. Survivre à cette ville est déjà un boulot en soit, ingrat.

Vous l'aurez compris, cette proposition est de jouer dans le Night City présenté dans Cyberpunk 2077. Un peu de contexte (contient un spoiler mineur sur l'histoire du jeu) :

Spoiler:

On utilisera l'univers du jeu tel que présenté, pas impossible que vous retrouviez quelques jobs, à la sauce JdR

The Sprawl est un jeu propulsé par l'Apocalypse (PBtA) qui permet de motoriser des parties de cyberpunk assez fidèles aux canons du genre. On n'y gagne jamais vraiment, on est souvent sur le fil. C'est un jeu à missions, chaque aventure tourne autour d'un boulot donné par un fixeur et confronte l'équipe à une ou plusieurs menaces (corpos et gangs notamment). Et au-delà de ça, une ville tentaculaire et sombre, des complots, des questions, des doutes, et tout ce que vous y apporterez...
Les personnages se construisent autour d'un des archétypes suivants :

• Le Fixeur : Peu importe ce que les gens veulent croire : parmi les ombres, le relationnel importe plus que tout. Si quelqu’un veut quelque chose, on se fout de savoir ce que c’est ; ce qui nous intéresse, c’est de savoir qui arroser pour l’obtenir et, ne vous y trompez pas, quelqu’un sera toujours payé d’une manière ou d’une autre pour cela...
  
• Le Hacker : Cowboy informatique, pirate matriciel, decker ; ce ne sont que des noms. Et qui aujourd’hui en a encore quelque chose à foutre des noms ? Les nombres, voilà ce qui importe aujourd’hui. Zéro et un, ma poule, et quand il s’agit de données de valeur, plus il y a de zéros, mieux c’est...
  
• L'infiltré : Night City est un réseau de murs et d’enceintes, gardant les gens dehors, gardant les gens dedans. Ton job est de passer ces murs – sans faire de vagues. Tu es passé maître dans l’art de franchir ces barrières que tant de gens voient comme des protections, maintenant ta présence invisible ou ton identité secrète.
  
• Le limier : Il y a des millions de personnes à Night City, et des millions de secrets. Un immense voile de verre, de béton armé, de plastacier et de chair ; L’endroit parfait pour se planquer. Tes contacts, tes compétences et ton expérience t’offrent une bonne prise sur ce voile, te permettant de le lever aisément et de découvrir ce qui est caché dessous. Ce qui se passe ensuite, hé bien, ça dépend de combien ils sont prêts à payer, non ?
  
• Le pilote : Chauffeur, transporteur, opérateur de drones. Un coupé racé, une grosse cylindrée vrombissante, un fourgon porte-drone ou un hélico militaire furtif – quand tu te connectes et sens le vent s’engouffrer le long de ta carlingue, tu es un dieu et ton véhicule est ton incarnation. Quand le taf se déroule sans accroc, rien de plus facile – une promenade dominicale avec grand-mère –, mais quand les choses tournent au vinaigre et que l’équipe a besoin d’une sortie de secours en quatrième vitesse, c’est là que tu gagnes ta thune.
  
• Le provocateur : L’idéologie est omniprésente. Si tu ne le vois pas et que tu n’essaies pas de la maîtriser, tu n’es qu’une marionnette aux mains de ceux qui l’ont compris. Tu crois en quelque chose de plus important que le train-train quotidien de la vie dans Night City. Tu as une vision, une cause, ou une mission...
  
• Le reporter : Il y a des histoires louches qui gangrènent cette ville. Je ne parle pas des scandales sexuels ou des frasques alcoolisées. C’est là-dessus qu’ils veulent qu’on se concentre. Laissons les ragots merdiques aux tabloïds et aux amateurs. Ce qui nous intéresse, ce sont les vrais secrets : les droits bafoués, les familles séparées, les vies détruites...
  
• Le soldat : Certains pensent qu’être Soldat dans les guerres corporatives de l’ombre signifie exclusivement jouer les portes-flingues et défoncer des portes. Mais ce n’est pas tout. Dans ce business, la planification et la préparation séparent les professionnels des cadavres. Il y a plein d’équipes talentueuses dans ton corps de métier, mais celles qui survivent assez longtemps pour pouvoir dépenser leur argent sont menées par des types comme toi...
  
• Le tech : Les Hackers récoltent toute la gloire, mais tu es le type qui fait en sorte que les choses soient vraiment faites. Une console matricielle ramasse quelques pruneaux ? On fait appel au Tech. Besoin qu’un réseau de bus grille ? On fait appel au Tech. Besoin d’installer 32 kilomètres de lignes fixes depuis le réseau énergétique jusqu’à une planque en plein désert ? On fait encore appel au foutu Tech. Au moins le travail paie mieux que de ramper au sein du réseau de ventilation des taudis.
  
• Le tueur : Yeux par Kiroshi, bras par Arasaka, muscles par Militech, nerfs synthétiques par une clinique de pointe clandestine de Watson. Tu es plus machine que chair. Bien plus dangereux aussi. Certains jobs demandent de la finesse, certains une main ferme, et d’autres une douzaine de chargeurs de munitions sans douille et trente centimètres de plastacier rétractable insérés à haute vélocité dans divers organes. Voilà le genre de taf que tu apprécies. Après tout, tu as payé un sacré paquet d'eddies pour ce chrome, ce serait une honte de ne pas l'utiliser.
  

De quoi s'amuser, non ?
Le samedi des semaines impaires, à partir de janvier 2024 (05 ou 19). Après-midi ou soir, selon dispos.
Etant exilé au delà du Mur Noir des frontières bretonnes, la partie se fera en distanciel uniquement. On utilisera FoundryVTT, mais pas besoin de licence, j'ai la mienne
Dernier truc, important : la partie est PEGI 18