Tavernes des Brumes-Refaire les Stockes [Lotus]

Date : 3 juin 2023

Joueurs : Lotus (MJ), Tonin (Rango), Sylvain (Sam), Morgne (Karina), Kami (Skala), Elsa (Gwenevir)

Résumé :

Shakespear, Hamelet a écrit:
« Mourir, dormir… Dormir, rêver, peut-être oui, mais au sommeil de la mort, les songes à venir, quand règne enfin la paix en notre fatal désordre, nous doivent retenir. Là se tiennent les égards qui prête à malfortune longue vie. »

Pourquoi, j’ai ça dans la tête. J’ai mal au crâne et la langue pâteuse. Mauvais présage. Cette tirade, elle était dite par un crapaud. Pas un crapaud, un iguane, un dragon, peut-être j’ai oublié. Ouvre les yeux ma grande. Le monde est bien trop lumineux et bruyant.

Je sens le museau frais d’Arthorias se frotter contre ma joue, enfin une bonne nouvelle. Je me redresse de la table qui me serre de lit de fortune. Les emmerdes commencent. Ils sont aux nombres de cinq, les emmerdes. Un lézard humanoïde accroché à un chandelier, un elfe druide paumé, une jeune guerrière mi-elfique mi-faune, un jeune garçon qui se prend pour un homme et un faune rose gigantesque. On est où là ? La taverne des brumes. Ça me revient.

L’iguane saute du chandelier. Quel remue ménage.

— Bon, vous allez pas rester là à vous tourner les pouces, j’ai besoin de vous pour aller me trouver des ingrédients pour remplir les fioles de l’élixir, de la poussière de fées, de la poudre lune, des pétales d’elfidée et du bois d’égrégore. Il faudrait aussi que vous mettiez la main sur un baromètre, déclare le faune rose.

ᛃ, c’est son nom, je crois. Enfin, la migraine commence à diminuer. Je lève les yeux sur le bar et je vois une petite affichette avec mon nom inscrit. 666 lunes, 55 ans et demi, c’est le temps que je dois à la taverne des brumes, une éternité, perpet' pour ainsi dire. Pour l'elfe Sam, 6 lunes, il est parti à l’aventure celui-là. 307 lunes pour Skala un compagnon d’infortune. 242 lunes Rango, encore une qui à trouvé les ennuis. 69 pour Carme et Jean, 116 pour Amora.  

Je n’écoute la suite que d’une oreille, mais mes compagnons d’infortune semble partants pour se risquer à l’aventure. Nous sortons. Au fond de mon flacon, il reste quelque goutte de l’élixir d'un jaune pourpre scintillant, l’octarine, couleur de la magie. La forêt nous cueille. Sa magie nous enveloppe. Je perds pied. J’arrive plus à respirer. Je suis rattrapée par des bras puissants. Karina ? Non, elle est devant moi. Alors qui me tient dans ses bras ? Les arbres. Ils sont vivants et sentients. Je m’écarte. Je n’aime pas ça. Saloperie. Mon regard se porte sur Arthorias. Lui non plus, n’est pas tranquille. Trop de puissance, trop de risque.

L’iguane, Rango, je crois à trouvé un chemin. Nous le suivons. Karina s’incline devant chaque plante. Je serre mon bâton plus fort. Je cherche du regard les ingrédients, plus vite nous les aurons trouvés, plus vite nous pourrons rentrer. Mais il disparaît de mon regard, s’efface dans le souffle du vent. J’ai l’impression que la forêt nous fait tourner en rond.

Le druide se prend une branche en pleine poire. Avant que je n’éclate de rire, il m’arrive la même chose.

— Putain de forêt !

Une racine me fait un croche-pied. Je m’étale à terre.

— Arthorias pisse leur sur les racines !

Merde, j’ai oublié qu’il ne pouvait pas refuser un ordre direct. Il urine sur le tronc d’un arbre. Le chat noir est alors propulsé dans les airs. Alors qu’il retombe comme une pierre j’ai le réflexe de lancer un sort pour le transformer en corbeau. Il s’enfuit à tire-d’aile en perdant quelque plume. Je déteste cette forêt. Karina essaye de m’expliquer que la forêt m’en veut de ne pas l’avoir remercié. Je ne vois pas pourquoi je devrais remercier qui que ce soit.

Skala finit par en avoir plein les pattes de marcher. On s’arrête pour jouer aux cartes. Je gagne. Une jolie fée débarque. Après une trop longue discussion à mon gout, je finis par lui dire les ingrédients que nous cherchons. En demandant les pétales et le bois, la forêt se vexe encore et je suis chassé. Je rentre à la taverne plus vite que prévu. ᛃ me demande ce qu’il ne va pas. Je tente de lui expliquer mon point de vue, mais il ne semble pas le comprendre. Les compagnons reviennent quelque temps après avec de la poussière de fée et quelques pétales. La flatterie semble marcher. On se met au lit. Le réveil est compliqué. Mais le café est bon. Rango veut leur jouer une pièce de théâtre. Les compagnons acceptent que je vienne, si je suis gentille, polie et aimable, je promets de me taire.

Nous repartons dans les bois. Il ne nous faut pas longtemps pour trouver les fleurs et obtenir quelques pétales. Nous repartons au bout de quelques minutes. Il ne faut pas longtemps avant que le druide menace de me bâillonner. Il faut dire que la forêt m’a encore agressé et je l’ai insultée. Je défie le druide de mon bâton.

— Prend garde druide, je ne menace pas, je fais des promesses !

« Promesse ! »

Deux fées se pavanent sur leur branche. Un petit tour de magie et j’obtiens une demi-fiole de poussière. Rango avec son chant en obtient une entière. Je fulmine.

Skala sort les cartes et je les pulvérise. Bon à mon grand désarroi, je n’y suis pas arrivée tout seul. Une fée vient d’arriver et elle veut jouer. On accepte sans parier. Pour rigoler, déclare Sam. ça ne loupe pas. Une demi-heure après on se bidonne presque tous comme des baleines et l’iguane n’arrive plus à s’arrête. La fée nous propose un jeu magique, l'Ambrevers.

— Je vais gagner, déclarais-je à mes compagnons.

— Je vais gagner.

Ils ne me croient pas.

— Je vais gagner.

Je snes la magie se resserer autours de moi. Trois fois. Je suis obligée de l’emporter. Le temps s’étire et la partie commence. Au bout de ce qui me parait avoir durée deux jours, d’après Skala se fut le cas, je finis par l’emporter.

La fée m’asperge de poussière, j’en ai partout, une vraie tempête. Ça pue et ça colle, en prime ça brille, c’est dégeu.

Quand je rentre à la taverne couverte de poussière, Arthorias éternue. Il est allergique à la poussière de fée. ᛃ semble content. Skala n’arrête pas de ramasser toute la poudre que j’ai sur moi et ᛃ promet d'en faire de l'alcool. Je veux juste prendre une douche.

annexe :
ᛃ est le propriétaire de la taverne

01/07/23
Présents: Tonin, Quentin, Liann, Elsa, Gabrielle, Anthony, Sylvain, Morganne

Enfin ! Nous avons enfin échapper à la cour d'été. Plus jamais je ne veux avoir affaire avec ces fée.
Malpolies et sournoises, comme chez moi. Mais elles n'écrivent pas noir sur blanc leurs contrats !

La petite fille de Jera n'est pas bien sûr d'où nous avons atterrit, a part que c'est un petit village de campagne.
Les habitants sembles être tous des hybrides humanoïdes comme moi, peut être que je devrais sortir le champagne.

Dans tous les cas, elle n'est pas bien sûr si nous trouverons de l'écorce d'égrégore ou de la poudre de lune pure ici.
Casse la que tienne, on va profité d'être dans un lieu d'habitation, c'est l'heure de faire nos courses chez l'herboriste et le forgeron.
Tous le monde part à la recherche de matériel et de plantes utiles, c'est juste dommage qu'on ne connaisse pas la valeur des prix.
Le voleur tente d'aider à sa manière. Il empoche un paquet de trésors et jubile. Il manque de se faire prendre, il trouvera une solution.  

De mon côté, après quelques emplètes et une vérification sur mon chapeau, je remarque qu'il nous reste environs 3 jours avant les brumes.
Par curiosité, j'essaye de trouver des trafiquants dont on m'a parlé plus tôt, paraît-il qu'iels auraient de la poudre de lune, du genre qu'on fume.
On m'a dit que ça serait facile et ça l'a été: à peine deux pas et me voila alpagué, par un jeune vendeur de cette fameuse poudre à faire planner.
Dans une sombre ruelle j'essaye de trouver un moyen d'avoir accès à une quantité, non négligeable de cette poudre au cas où elle pourrait aider.

Pour ce monde, les quelques pièces d'or que j'ai semblent valoir un titre de noblesse, et elles viennent de me donner un accès direct à la source.
Un certain Sisty gère ce réseaux de trafiquant et accepte de discuté, quelle prouesse ! Surement à cause de mes amis qui sont à mes trousses.
Iels m'ont suivit jusqu'à l'entré du repère secret, un peu gênant pour le serpent géant. J'obtient donc un carquois remplis de cette poudre impure.
Et pendant que je remonte à la surface, le voleur fait une razzia d'or et de diamants, enfin surtout de quoi satisfaire son avarice la plus pure.

Son escapade est légèrement bloqué par un garde à la porte d'entrée.
Un petit coup de vent pour le faire voler et le voleur est sauvé !
Karina ne voulant pas gâcher, sa boule de feu est envoyée.
Toute la baraque se met à cramer, pendant que je commence à m'éloigné.
Le voleur est stresser, mais les gens commence à nous respecté.
Donc tous se sont écarté et, pour accélérer, je nous ai téléporté.

Quelques minutes plus tard, nous somme à la taverne saines et saufs.
Jera me jette un regard, je peux garder la poudre, trop corrompue.
Sam précise un détail important: corrompu par des morts.
Peut être une mine de zombies errants, une chance en or !
On pourrait y obtenir la poudre pure, et terminer cette corvée.
Gwen n'est pas bien sûr, mais elle a de l'énergie à déchargée.

Demain, ou durant le deuxième jour restant, on va (peut être) aller casser du mort-vivant !

MJ: Liann,
Joueur: Elsa; Léo; Hermine.

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« Pourquoi, c'est toujours à moi de régler les problèmes des autres.»
Nous venons d'arrivé dans une nouvelle cité et déjà on me refilles des corvées. Trouver un foyer de 50 littre pour torrifier des graine de cafés et justement du café, je sais même pas ce que c'est. Mais comme je n'ai pas l'intention de tout faire moi même, je vais invoquer des myrmidons. Des esclaves sans consience qui m'aiderons ou ferons le boulot à ma place, j'ai plus important à faire moi.
J'ai tournée le dos au habitant de la tavernes. ᛃ derrière son barre à poussé un soupire de fin des temps. Est ce que le faune rose à comprit ce que je m'apprétais à faire, probable, mais ce n'est pas mon soucis. Je me concentre, murmure la formule, tape 3 fois le parquet de mon baton. Une emple brume noir s'aglutine devant moi et de personne se matérialise. Un grand elfe au cheveux blanc et une petite bonne femme. Il me fixe de leur yeux ahurris. Ils n'ont pas l'aire très malin, mais costaud, sa devrait faire mon affaire.
— Qu'est ce que l'on fait là ? grogne la petite femme.
— Où sont mes compagnon, je marchais à leur coté dans la forêt, il y a moins d'un instant ? s'éttonne l'elfe.
Et merde, ça a trop bien marcher. J'ai pas invoquer des myrmidons, mais de véritable personne.
— Bonjour, désoler, c'est ma faute, téléportation, invocation assidentel, je pensais faire apparaitre des golems, mais vous voilas, disons que la tavernes ma un peu trop aidé sur ce coup là. Vous vous appellé comment ?
Les deux inconnue me toise avec des envie de meutre dans le regard. Pas commode, au moins ils seront efficasse pour intimidé des gens. Mais pas sont. On les informes que l'on a besoin de café et d'un foyer, qu'ils sont à la taverne et que nous ne repartirons que dans 2 semaines en attendant, il sont bloquer avec nous. L'efes, Glewens semble savoir ce qu'est du café et sa compagne d'infortune, Leslie a envie de se dégourdir les jambes. Nous voila donc tout les trois dans l'une des rue d'une ville inconnue où circule nains, animaux antropomorphe, humains et elfe dans un joyeux méllange.
Plus tôt que de circuler sans bute, j'alpagne la première personne sur mon chemin. C'est une jeune naine qui parle si vite et pose tant de question que j'ai du mal à suivre ses résonnement. Dans le malestrome de parole je parviens à percevoir que son oncle est forgerons et qu'il pourrait nous aidé.
Le vieil oncle en question est un nain bourrut mais sympatique comme il en existe tant. Nous devons juste lui donné la tailles du foyers et fournir l'accompte. Comme les mesures de son monde sont différente des miennes, la conversions n'est pas simple, heureusement Orianna sa nièce est partant pour nous accompagner. Sur le chemin, elle repar sur ses logorets métamagique et métaphisique et trouve les réponse seule avant que je puisse formuler la moindre hypothèse.    
Orianna prend les mesure pour le foyer et me les transmet. Nous les donnons au grand oncle. Il nous fera un four.
Nous rentrons à la Taverne pour dormir. Leslie se rend au arène et impressionne tout le monde. Le lendemain nous partons en quête de café. Nous apprenons que une communauté au port possède du café.
Nous nous y rondons tout les trois. Sur place une communauté d'homme lézard semble prendre le soleil. Ils se mette sur la défensivent qu'en je leur parle de café et semble avoir des difficulté à me comprendre. Un sort murmuré et je peu leur parlé. Le mot commercer les gènes. Je finis par être introduit au près de leur chef. Ils ne peuvent me donné du café, mais il accepte d'en offrir une tace. C'est vraiment bon cette boisson. Je les remercis pour leur aide. Nous rentrons bredouille à la taverne.
Au bout de quelques jours nous obtenons notre four. Les deux allier doivent s'en aller.